par le Dr D.B. Tonks, paru dans le numéro commémoratif, 40 ans • 1956-1996 des Nouvelles du CCSC 1996 ; 2.

L’impulsion pour la fondation de la Société canadienne des chimistes cliniciens (CCSC) est venue de Montréal, de feu le Dr W.S. Bauld et du regretté Dr E.H. Bensley de l’Hôpital général de Montréal, et du Dr A.H. Neufeld de l’Hôpital Queen Mary pour anciens combattants. Il s’agissait tous de cadres supérieurs du personnel de laboratoire, bien connus au Canada et à l’étranger. Au cours de l’été 1956, ces trois scientifiques médicaux planifient une réunion d’organisation des personnes intéressées par la chimie clinique ou la biochimie médicale pour le 17 octobre de la même année. Ils m’ont demandé (DBT) de participer en donnant une conférence sur le travail que mon équipe de trois personnes et moi-même faisions depuis 1951 dans les laboratoires cliniques du Laboratoire d’hygiène d’Ottawa. (Notre division était dirigée par le Dr R.H. Allen, dont le chef était M. J. Gibbard. Les deux sont importants pour cette histoire pour leur fort soutien, mais ne seront plus mentionnés). À la demande du Dr M. Klotz, pathologiste en chef, nous avions mis sur pied un laboratoire fédéral de chimie clinique à l’Hôpital Civic d’Ottawa, et nous menions des programmes d’essais d’aptitude en chimie clinique au Canada, nous étudiions les méthodes de chimie clinique de façon exhaustive et nous produisions un manuel à feuillets mobiles des méthodes de chimie clinique approuvées. Je faisais aussi de la recherche en sérologie. Une discussion sur ces études semblait appropriée aux fins de la réunion de fondation à Montréal le 17 octobre 1956.

Le nouvel Hôpital général de Montréal avait ouvert ses portes en 1955, remplaçant le précédent. Le 17 octobre 1956, les laboratoires venaient tout juste d’être créés et étaient magnifiquement et colorés. Notre réunion s’est tenue, je crois, de nuit dans l’amphithéâtre Osler, qui porte maintenant le nom d’Osler. Des invitations avaient été lancées, et un bon auditoire de 37 scientifiques y a assisté avec beaucoup d’intérêt. Le principal organisateur était, je crois, le regretté Dr Bill Bauld, un Canadien qui avait été formé en Écosse. (Malheureusement, lui, sa femme et deux de ses quatre enfants ont été tués dans un accident d’automobile dans les Maritimes en 1958). Le besoin et le désir de former une société de chimie clinique seulement étaient forts, et un comité d’organisation a été mis sur pied pour créer une société nationale et planifier une première réunion annuelle à Ottawa à l’automne 1957. J’ai été nommé président du comité local d’organisation de cette réunion. Drs. Bauld, Bensley et Neufeld furent chargés d’organiser le programme scientifique et la partie commerciale de cette importante réunion d’Ottawa.

On pourrait en dire plus sur la réunion de Montréal, mais on peut se référer à un article du Dr Bensley dans nos Nouvelles du CCSC de février 1984 (« Vingt-cinq ans – Une rétrospective »). Il est important de noter, cependant, que d’autres sociétés ont été formées à peu près à la même époque (Société canadienne de biochimie, Fédération canadienne des sociétés de biologie, Société canadienne de nutrition). Nous avons eu le soutien moral des associations britannique et américaine de chimistes cliniciens et de biochimistes médicaux, ainsi que de la Fédération internationale de chimie clinique. Plusieurs d’entre nous avaient déjà assisté à leurs réunions. J’étais devenu membre de l’AACC en 1953 et j’avais visité le laboratoire du Dr Sobel à Brooklyn en 1952 et 1953 ; il a été l’un des fondateurs de l’AACC.

Du 9 au 14 septembre 1956, le Congrès international de chimie clinique qui s’est tenu à New York du 9 au 14 septembre 1956 a donné beaucoup d’informations sur la nécessité d’une société canadienne (pour former des programmes de contrôle de la qualité, normaliser les méthodes et évaluer les instruments). Plusieurs d’entre nous ont assisté au Congrès, ainsi que le professeur N.F. MacLagan, le Dr C.P. Stewart et le professeur E.J. King de Grande-Bretagne, qui venaient de visiter Montréal.

Le comité formé à la réunion de Montréal pour planifier l’organisation rapide d’une Société canadienne des chimistes cliniciens était composé du Dr E.H. Bensley (Montréal), président. Dr S.H. Jackson (Toronto), Dr Jules Labarre (Montréal), Dr D.B. Tonks (Ottawa), Dr F.D. White (Winnipeg), Dr A.L. Stewart (Edmonton) et Dr W.S. Bauld (Montréal), secrétaire. Des questionnaires ont été envoyés pour connaître l’opinion des autres. Il a été convenu que nous allions de l’avant et la première réunion nationale, mentionnée ci-dessus, était prévue pour l’automne 1957 à Ottawa.

Cette première rencontre nationale s’est tenue au pavillon de médecine de l’Université d’Ottawa. Ce fut un grand succès. La réunion de travail a suivi (34 personnes ont assisté) avec le Dr Bensley comme président et le Dr Bauld comme secrétaire. Le comité précédemment choisi a été approuvé pour procéder à la formation d’une Société canadienne des chimistes cliniciens, nom proposé par les Drs. White et Neufeld, et accepta après de longues discussions. Les conditions d’admissibilité à l’adhésion ont fait l’objet d’une discussion approfondie ; enfin, M. Guy Nadeau, appuyé par M. Bauld, propose que «Toute personne qui participe activement à la pratique ou à l’enseignement de la chimie clinique (ou de la biochimie clinique) peut être admissible à devenir membre dès la première année.» et qu’un comité soit mis sur pied pour statuer sur les demandes reçues. Les bureaux et dirigeants suivants ont été approuvés : président, Dr E.H. Bensley ; vice-président, Dr S.H. Jackson ; secrétaire, Dr. W.S. Bauld ; trésorier, Dr Guy Nadeau ; et les membres du Conseil, M.C. Blanchaer (Winnipeg) et R.H. Pearce (London, Ontario). Trois sous-comités ont été mis sur pied et ont été désignés comme présidents : Instrumentation, Dr S.H. Jackson ; Contrôle de la qualité, Dr D.B. Tonks ; Méthodes, Dr F. Moya, de Halifax. L’adhésion devait être décidée par le Conseil.

La Société était en route. La deuxième assemblée annuelle a eu lieu à l’Université Queen’s à Kingston les 12 et 13 juin 1958, sous la présidence du Dr Bensley et du Dr J.M.R. Beveridge à la présidence du comité organisateur local.

La troisième assemblée annuelle a eu lieu à l’Hôpital pour enfants malades de Toronto le 12 juin 1959, lorsque le Dr S.H. Jackson a été élu président et que j’ai été confirmé au poste de secrétaire, poste que j’avais occupé après le décès du Dr Bauld.

Par Steven J. Soldin à l’occasion du 25^e anniversaire du CCCA

L’absence d’une bourse de recherche en biochimie clinique, accessible à la fois aux titulaires d’un doctorat et à un doctorat en médecine, préoccupait sérieusement plusieurs d’entre nous et a conduit à de fréquentes réunions du groupe « local » à Toronto dans les années 80. J’avais été membre de l’ACCNA avant qu’elle ne s’affilie à l’AACC et, lorsque je suis devenu président de l’ABCN, j’ai joué un rôle déterminant dans la construction du pont avec Ted Peters, le président de l’ACCA de l’époque, afin de guérir le fossé malheureux entre l’AACC et l’ACCNB et qui a finalement conduit à l’affiliation actuelle de l’ACCNA à l’ACCA.

Au Canada, nous avons d’abord tenté de convaincre le Collège royal d’élargir son programme de certification pour les biochimistes médicaux afin d’y inclure des chimistes cliniciens titulaires d’un doctorat dûment qualifiés, à l’instar du système britannique. Cette négociation s’est poursuivie pendant plusieurs années, mais les Drs. Gornall, McQueen et moi avons réalisé que cela n’allait nulle part.

Nous avons ensuite réorienté nos efforts pour obtenir l’appui du CSCC. C’était essentiel, car je ne voulais pas qu’il se produise au Canada un fossé semblable à celui qui s’était produit aux États-Unis entre l’AACC et l’ANCB. L’approche a été bien accueillie par le CSCC et nous avons reçu un soutien important de la part de nombreuses personnes, mais surtout des Drs. Desjardins, Allen, Doug Gornall et, bien sûr, le Dr Allan Gornall, qui avait été un fervent partisan depuis le début.

Le reste appartient à l’histoire. L’Académie canadienne est née et a connu un leadership exceptionnel depuis. Aujourd’hui, le Canada peut être fier de la qualité de ceux qui réussissent l’examen du conseil canadien, ce qui leur permet d’obtenir l’accréditation nécessaire pour diriger des laboratoires de chimie clinique dans ce grand pays et de devenir simultanément membres de la dynamique Académie canadienne de biochimie clinique.

Merci de m’avoir demandé de partager ces précieux souvenirs.

Par Andrew MacRae, Ph. D.

Le champ d’application de la biochimie clinique

La biochimie clinique est l’une des professions médicales. Plus précisément, il s’agit de l’une des nombreuses sous-disciplines collectivement appelées médecine de laboratoire. Comme son nom l’indique, la médecine de laboratoire constitue l’ensemble des pratiques de la médecine qui se rapportent aux investigations de laboratoire à des fins de diagnostic et de traitement des maladies. Alors que certaines sous-disciplines de la médecine de laboratoire traitent des tissus, des cellules ou des éléments infectieux, les biochimistes cliniques sont principalement impliqués dans l’étude des constituants biochimiques des fluides du corps.

Ces investigations comprennent une évaluation qualitative et quantitative des éléments moléculaires individuels du plasma sanguin, du liquide céphalo-rachidien, de l’urine et d’autres fluides corporels. La quantité d’une substance dans le sang ou un autre liquide, ou la nature de la substance, constitue la base d’un diagnostic ou d’une évaluation médicale de l’évolution de la maladie ou du traitement. Un exemple simple est la mesure de la glycémie dans le diagnostic du diabète.

Il existe plusieurs centaines de composés différents qui sont mesurés, certains plus couramment que d’autres. Dans chaque cas, la quantité ou la nature qualitative du composé est liée à une maladie ou à un trouble particulier. C’est le biochimiste clinique qui évalue la relation entre le composé et la maladie, établit le test pour le composé et remet le rapport au médecin avec une interprétation médicale des résultats.

Les origines de la biochimie clinique et son rôle en médecine

La pratique de ce que l’on appelle aujourd’hui la biochimie clinique peut être retracée tout au long de l’histoire de la médecine. Hippocrate (460-375 av. J.-C.) a fait référence à un premier « test », à savoir une inspection de l’urine, en disant :

Les bulles flottant à la surface de l’urine dénotent des affections des reins,
et que la maladie sera longue. (Aphorismes, section VII, numéro XXXIV)

Le test d’urine d’Hippocrate reste dans la pratique médicale aujourd’hui, bien qu’il ait été transformé par les connaissances et les techniques modernes. Nous savons maintenant que les bulles mentionnées par Hippocrate sont causées par des protéines, et qu’un excès de protéines dans l’urine indique une maladie rénale. Dans la pratique médicale moderne, nous ne sommes pas limités à une inspection du fluide comme l’était Hippocrate ; nous mesurons la quantité et la nature de la protéine dans l’urine, la source des bulles d’Hippocrate. Cet exemple trivial illustre l’évolution et la nature de la biochimie clinique. Un « test » pour les bulles par un ancien médecin a été remplacé par des tests plus spécifiques pour la quantité et la nature des agents causaux de la maladie, et les professionnels qui se spécialisent dans la découverte et le test de ces agents causaux dans les fluides corporels sont des biochimistes cliniques.

Les anciens se limitaient à l’évaluation du seul fluide corporel disponible, à savoir l’urine. Entre Hippocrate et 1500 apr. J.-C., les médecins ont fait de lents progrès dans la découverte des différents aspects de l’urine qui pourraient être utilisés comme marqueurs des causes et de la nature des maladies. L’urine a été évaluée en fonction de son volume, de sa couleur, de son apparence, de son odeur et de son poids. Les écrits originaux sur le poids d’un volume connu d’urine comme indicateur de maladie remontent au premier siècle av. J.-C. Les instruments utilisés dans ces essais étaient les suivants : matula (un récipient sphérique avec un long col) pour l’évaluation visuelle et pour mesurer le volume, et la balance à casseroles pour mesurer le poids.

Selon les normes modernes, ces tests et observations étaient rudimentaires ; Cependant, à leur époque, ils étaient souvent le moyen le plus important d’établir un diagnostic, et les mêmes tests persistent aujourd’hui, avec seulement un raffinement modeste. Les noms de plusieurs maladies anciennes étaient basés sur les résultats des « tests de laboratoire » de l’époque.

Le diabète est un exemple du rôle que nous appelons aujourd’hui la biochimie clinique dans l’évolution de la médecine. Le mot diabète provient du mot grec pour siphon et fait référence au grand volume d’urine qui est symptomatique de la maladie. Le « test de laboratoire » de l’époque était la mesure du volume d’urine produit par le patient. Le résultat du test, l’observation d’un volume d’urine anormalement élevé, a été à la base du nom donné à la maladie.

Plus tard, un deuxième test a été ajouté pour différencier davantage cette maladie. Il a été découvert que certains patients diabétiques produisaient de l’urine qui avait une odeur (et un goût) sucrés, alors que l’urine d’autres patients ayant des volumes d’urine similaires était acide. Sur la base de ce résultat de test, le diabète a dû être différencié : diabète sucré (sucré) et diabète insipide (acide).

À une époque plus moderne, le diabète sucré a été différencié sur la base d’un autre test biochimique, à savoir la quantité d’insuline dans le sang. Par conséquent, nous avons le diabète sucré insulino-dépendant et le diabète sucré non insulino-dépendant. Tout au long des soins médicaux pour ce groupe de maladies, qui s’étend sur plusieurs siècles, les maladies ont été nommées sur la base des tests de laboratoire de l’époque.

L’évolution du métier de biochimiste clinicien

Il y a plusieurs siècles, les médecins ont commencé à effectuer des tests sanguins. Les premiers tests sanguins étaient similaires à ceux utilisés à l’époque pour l’urine, à savoir l’observation visuelle et la pesée d’un volume déterminé. Les tests sanguins avaient l’avantage que le liquide étudié était plus proche de la source de la maladie, étant le liquide qui baigne les tissus, plutôt que le liquide que le corps évacue sélectivement.

Les premiers concepts de la chimie de l’urine et du sang en tant que déterminant de la maladie ont été publiés au XVIe siècle après J.-C., bien que ces idées aient été basées sur des postulations encore plus anciennes datant du Ier siècle av. J.-C. Par la suite, la portée des tests s’est considérablement élargie, bien que lentement, tout comme les découvertes. En l’an 1600, la pratique de la distillation de l’urine et du sang était un nouvel ajout à la médecine diagnostique. L’objectif de ce dernier test était d’évaluer les constituants en sel, en soufre et en mercure de ces fluides corporels. Au XVIIe siècle, le laboratoire contenait des appareils améliorés, y compris le thermomètre. Des études sur la fermentation ont conduit à des théories sur le rôle du dioxyde de carbone et le rôle des substances acides et alcalines dans la digestion.

Tout au long du Moyen Âge, les médecins ont incorporé davantage de tests dans leur évaluation des patients, et certains médecins ont commencé à concentrer leur pratique sur l’étude de ces tests sanguins. Au 17ème siècle, il y avait des centres scientifiques dans lesquels les médecins/chimistes effectuaient leurs recherches. Un exemple notable est celui du Gresham College, dont le siège est à Oxford, en Angleterre. Ce groupe de « philosophes de la nature expérimentale » forma plus tard le noyau de la Royal Society qui fut créée en 1662. Robert Boyle était membre du Gresham College, et sa publication en 1684 a été une étape importante dans l’évolution de l’examen chimique du sang en tant qu’outil de diagnostic en médecine. John Locke, alors qu’il était encore dans la mi-trentaine et avant sa renommée en tant que philosophe, a assisté Robert Boyle et a effectué des expériences de distillation sur le sang.

À une époque plus moderne, les travaux de Banting et de Best il y a soixante-dix ans sont représentatifs de l’évolution des médecins en spécialistes de la médecine de laboratoire. Sir Fredrick Banting était le chirurgien devenu théoricien de la biochimie, et Charles Best était l’étudiant en médecine qui a testé la teneur en glucose du sang et extrait l’insaisissable insuline.

Au fur et à mesure que cette tendance à la spécialisation s’est accrue, l’étendue des tests s’est élargie, tout comme l’utilisation d’équipements sophistiqués remplaçant les sens de base utilisés par les anciens. Cependant, la nature fondamentale des tests continue aujourd’hui d’être des évaluations quantitatives et qualitatives des constituants biochimiques des fluides corporels.

Symboles associés à la biochimie clinique

La pratique de la biochimie clinique est fondée sur les concepts de tests quantitatifs et qualitatifs, conduisant à un diagnostic. Ces concepts ont été regroupés dans la devise proposée pour l’Académie :

Quanto Qualique Diagnoscere

Les symboles du caducée pour la médecine, d’une fiole d’urine pour les études qualitatives et d’une balance pour les tests quantitatifs, pourraient être combinés de manière appropriée dans les armoiries.

La Société canadienne des chimistes cliniciens (SCCC) est l’organisme professionnel à partir duquel l’Académie canadienne de biochimie clinique (ACCB) a évolué et au sein de laquelle a évolué l’Académie canadienne de biochimie clinique (ACCB). Depuis 1966, le CSCC utilise les symboles des serpents qui s’enroulent autour du col d’une fiole jaugée (voir l’article ci-joint du bulletin du CSCC sur les origines et la signification des symboles de la Société). Étant donné que le CCCA est une sous-section de la CCCA, il serait approprié que les symboles de la CCCA fassent partie des armoiries de la CCCA.

Une suggestion semble tout à fait appropriée : les serpents qui s’enroulent autour du col de la fiole pourraient provenir d’une double hélice (la structure de la molécule d’ADN) à l’intérieur de la fiole. Une balance de casserole pourrait encadrer la fiole, avec les casseroles suspendues de chaque côté de la fiole et l’armature de la balance au-dessus de la fiole. La forme triangulaire de l’armature d’un balancier imite l’architecture grecque antique, appropriée pour une académie. Un dernier symbole, commun tout au long de l’histoire de la biochimie clinique, est la lumière. L’absorbance de certaines parties du spectre de la lumière a été utilisée pour décrire la couleur des fluides et de leurs constituants, et la production sélective de composés absorbant la lumière est un principe de longue date utilisé dans les tests quantitatifs.

PRÉSIDENTS DE LA SOCIÉTÉ CANADIENNE DES CHIMISTES CLINICIENS

MEMBRES DU CONSEIL

Société canadienne des chimistes cliniciens

ESAD = Division de l’éducation et des affaires scientifiques
PAD = Division des affaires professionnelles
= Publications Division

1956 à 1980-81

MEMBRES DU CONSEIL

Société canadienne des chimistes cliniciens

MEMBRES DU CONSEIL

Société canadienne des chimistes cliniciens

ESAD = Division de l’éducation et des affaires scientifiques
PAD = Division des affaires professionnelles
= Publications Division

MEMBRES DU CONSEIL

Société canadienne des chimistes cliniciens

Marcel C. Blanchaer (décédé)

Donald J. Campbell

Arlene J. Crowe

Régis Duffy

K.A. Evelyn (décédée)

Allan G. Gornall (décédé)

Gilbert Hill

Élisabeth Hooper

Sanford H. Jackson (décédé)

Matthew J. McQueen

Richard H. Pearce

Diana M. Schatz

David B. Tonks (décédé)

Derek Watson

Membres fondateurs de l’Académie

Académie canadienne de biochimie clinique

1986 – aujourd’hui

¹1998-2003 Comité de l’éducation et de la recherche
^deuxLe poste était celui de membre actif
³Le poste était Trésorier
⁴Mandat de R. Lepage terminé
⁵R. Yatscoff présidait le comité
⁶Le Dr Lepage a terminé le mandat du Dr Delvin
⁷La Dre MacRae a terminé le mandat de la Dre Dupont à titre de membre actif

Le Dr David Tonks a siégé au conseil pendant les 10 premières années de la CCSC, et il rassemblait les procès-verbaux des AGA, des réunions du Conseil, etc. dans des bulletins polycopiés distribués à tous les membres par courrier ordinaire et numérotés de la main du Dr Tonk dans l’ordre #1. Lorsque le Dr Russell Rockerbie était rédacteur en chef et qu’il a été en mesure d’obtenir un parrainage commercial pour l’impression professionnelle du bulletin (1973), il a adopté l’année du bulletin #1 comme volume 1, ce qui explique pourquoi le numéro du volume est en retard de deux ans sur l’âge réel du CSCC.