Conférencier 2015 sur les maladies cardiovasculaires

Photo de groupe de collègues professionnels travaillant ensemble dans un laboratoire d’analyses cliniques
Chimiste clinique travaillant
Groupe de chimistes cliniques
Chimiste clinique en laboratoire
Chimiste clinique en laboratoire
Groupe de chimistes cliniques
Chimiste clinique travaillant sur ordinateur
Chimiste clinique en laboratoire

Conférence webinaire du CCSC sur les maladies cardiovasculaires

Jeudi 26 février 2015

08 h 30 (Colombie-Britannique) / 09 h 30 (Alberta) et SK/10 h 30 (Manitoba)/11 h 30 (Ontario) et Québec/12 h 30 (Nouvelle-Écosse) et Nouveau-Brunswick/13 h 00 (Terre-Neuve-et-Labrador)

Commandité par

Alere

 

Le point de vue canadien sur le

Lignes directrices de l’ACC/AHA sur la dyslipidémie

Orateur:

Dr Todd Anderson (en anglais seulement)

Président, Comité des lignes directrices sur la dyslipidémie de la SCC
Directeur, Institut cardiovasculaire Libin
Chef de département, Services cardiaques
École de médecine Cumming, Université de Calgary

Formulaire d’inscription

Il n’y a pas de frais pour assister à cette conférence mais il est nécessaire de s’inscrire

La conférence présentera le point de vue canadien sur les lignes directrices de l’ACC/AHA sur la dyslipidémie publiées en 2013. Il comparera les lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie avec les normes américaines et européennes. La conférence portera sur les thèmes de l’évaluation des risques, de l’éligibilité au traitement et du concept de cibles de traitement. Je discuterai également de l’insuffisance rénale chronique, des niveaux à jeun ou non à jeun ainsi que de l’utilisation de tests de biomarqueurs secondaires. Le groupe d’experts sur la dyslipidémie de la SCC était d’avis que les normes canadiennes ne seraient pas ajustées à la lumière des lignes directrices de l’ACC et de l’AHA, mais qu’une mise à jour des lignes directrices de la SCC serait élaborée en 2015.

A l’issue de cette session, les participants seront en mesure de :

1) comprendre la différence entre les lignes directrices canadiennes actuelles sur la dyslipidémie et celles introduites aux États-Unis l’année dernière.
2) comprendre l’importance cruciale de la détermination des risques pour guider le besoin de médicaments hypocholestérolémiants.
3) comprendre les caractéristiques à haut risque, y compris l’insuffisance rénale chronique, où un traitement par statines devrait être proposé à tous les sujets.